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Malaria – en Belgique pas de panique!
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mosquitoes blood sucking on human skin

Le sauvegarde de l’environnement n’a pas atteint ces objectifs souhaités créant une situation dans laquelle les températures restent supérieure à la moyenne au fils des années tel que décrit par Pascal Mormal, météorologue à l’IRM : …une hausse des températures durant l’hiver, un phénomène de plus en plus fréquent au fil des années. “C’était déjà le cas en 2006-2007, 2007-2008, 2013-2014 ou encore 2015-2016 qui étaient des hivers encore plus doux que cette année”.

La République Démocratique du Congo (RDC) figure, depuis juin 1992, parmi les plus
de 185 pays qui font parties de la Convention Cadre des Nations Unies sur les
Changements Climatiques (CCNUCC). C’est à ce titre qu’elle a entrepris depuis lors,
une série d’activités scientifiques conformes aux engagements auxquels elle a souscrit, à
savoir l’Inventaire de ses émissions des Gaz à Effet de Serre (GES) pour l’année 1994,
lequel a abouti à la Communication Initiale Nationale sur les changements climatiques
présentée en 2002 à New Delhi, lors de la 8ème Conférence des Parties (CoP8).
Dans le même ordre d’idée, le pays a entrepris d’élaborer son premier Programme
d’Action National d’Adaptation aux changements climatiques (PANA), tandis que les
travaux pour la seconde communication viennent de démarrer.

La barrière formée que crée la nature fait obstacle aux nuisances de diverses natures. Si nous prenons le cas des nuissances sonres suivant des études effectuées à la V.U.B. sur les impacts le constat a est clair :  » en cas de suppression des barrières végétales (arbres et feuillus) ont pu mettre en évidence qu’il faut en moyenne 150 m de distance pour affaiblir les risques pathologiques sur les humains« . Ceci ne tient pas compte de l’impact sur l’écosystème végétal.

Le changement climatique se décline par : des températures de plus en plus irrégulières, les eaux montantes et pluies plus fortes, des glissements de terrains en sont tant de manifestations. Les températures au cours des années deviennent de plus en plus atypiques. Ces multiples changements apportent de nouvelles maladies, des syndromes inconnus dans certaines parties du monde.

Ainsi en France l’apparition de dengues, de Zirka, virus du Chikungunya transmis par moustique tigre (Aedes albopictus) ou du moustique Aedes aegypti, sont apparu.

Fort est donc de constater que certains changements demandant adaptation notamment par la prévention et la prophylaxie devraient idéalement s’enclancher dans les pays industrialisés et non pas seulement dans le cadre de voyages. De multiples synergies scientifiques sont mises en place tel que l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers : https://www.itg.be/E/tropical-infectious-diseases-group.

En conclusion a ce bref article les maladies tendent a devenir mondiales se qui explique le devoir de prendre des dispositions de types locales vers Mondiale dans un esprit d’analyse et d’approche scientifique et médicale ouverte.

Pour rappel :

https://www.conseil-national.medecin.fr/sites/default/files/medecins_ns_-_serment.pdf – France

http://www.ceom-ecmo.eu/sites/default/files/documents/fr-charte_europeenne_dethique_medicale-adoptee_a_kos_0.pdf – Charte Médicale KOS, 2011

Anne- Hélène

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