Relevant un article sur Okapi publié en date du Publié le sam, 31/10/2020 – 10:12 | Modifié le sam, 31/10/2020 – 15:26, nous tenons a répercuter notre prudence sur le vaccin dont nous ne connaissons par l’Origine exacte. Il sera pourtant injecté suivant l’article à Maï-Ndombe : a quelques 400 000 enfants attendus qui sont attendus à la deuxième phase de la vaccination contre la poliomyélite. Ainsi nous citons radio okapi : « Quatre cent huit mille cent soixante-six (408 166) enfants de 0 à 59 mois sont attendus pour la deuxième phase de la vaccination contre la poliomyélite à travers les 14 zones de santé que compte cette province. Le ministre provincial de la Santé, Jean-Claude Bola Mbomba, l’a annoncé vendredi 30 octobre« . Ainsi il a été « indiqué que le souci est de faire du Mai-Ndombe une province sans poliomyélite », Cette deuxième phase de la campagne de riposte a débuté jeudi 29 octobre. Elle va prendre fin le dimanche 1er novembre 2020.
Nous tenons a informer que le vaccin de la polio était généralement bien tolérée avec les anciennes molécules, reste à savoir dans le cadre présent quelles molécules sont injectées. Effectivement en Europe et au Etats-Unis les Autorités confirment – et éprouvent même certaines difficultés – la conformité des vaccins et des médicament. Ainsi tout médicament doit être certifié et tout importation de médicament ou de vaccins doit être vérifiée par lot. Nous pouvons nous interroger ci-dessus.
Un fait transversal de la vaccination est le fait qu’un personne disposant d’une immunité (dans le cas présent transmissible) ou d’une personne ou enfant ayant été vacciné contre une maladie s’il se fait revacciner, cela revient a ne pas être immunisé ou peut avoir des conséquences graves sur la vie de l’individu par le développement d’autres maladies. Nous attirons l’attention des Autorités des faits de non suivi à savoir pas de carnet de vaccination comportant le lot, l’année de fabrication du vaccin son origine,.. Nous attirons l’attention des autorités que les vaccins ne sont pas vérifier quant à la leur conformité – aux souches, normes et règles de production, chaine de froid (un vaccin doit être tenu a une certaine température inférieure à 2 dégré pour gardez ces caractéristiques
Le Dr Jean-Claude Bola Mbomba Nteko, souhaiterait que la santé des enfants est une priorité et le souci est de faire du Mai-Ndombe une province sans poliomyélite. Il a mentionné que son service est obligé de travailler en collaboration avec tous les partenaires qui appuient le gouvernement provincial, afin d’atteindre tous les enfants ciblés, même dans les coins le plus reculés de la province. Mais que signifie tous les enfants ciblés, une autre question qui demande éclaicissement. Ainsi dans un article (nous garderons l’éditeur anonyme afin de ne pas le mettre sous sencure). Bill Gates, un des homme les plus riche du Monde il est relevé : « Dans un article publié le 13 février 2018, le site Initiatives Citoyennes affirme que Bill Gates, le deuxième homme le plus riche de la planète, a choisi de ne pas vacciner ses enfants. L’information repose sur le témoignage d’un « médecin qui a officié comme médecin privé de Bill Gates à Seattle dans les années 1990 ». « Je ne sais pas si ceux-ci ont été vaccinés à l’âge adulte, mais je peux vous dire qu’il a refusé de les vacciner quand ils étaient enfants », aurait dit ce médecin « lors d’un symposium médical à huis clos à Seattle », ajoutant que « c’était des enfants magnifiques, très intelligents et vifs, et il a dit que c’était bien comme ça, et qu’ils n’avaient pas besoin du moindre vaccin ». Pourquoi dès lors faire une propagation de la vaccination et quel en est le coût payé par qui et pour quel résultats?
Comme vu ci-dessus et confirmé par infovac (plateforme d’information sur les vaccins : https://www.infovac.ch/fr/les-vaccins/par-maladie/poliomyelite), la vaccination concernée n’a pas d’effets secondaire hors dans le cadre de la présente campagne de vaccination 14 cas de paralysie flasque aigue ont été notifiés lors de la phase une de cette campagne qui a eu lieu du 14 au 17 octobre dans l’ensemble de la province, a signalé Jean-Claude Bola Mbomba. Ce qui fait penser à une faille et non conformité de la vaccination ou du produit ou encore produits frelaté, non-conforme ou périmé.
Il s’agit dans le cadre présent de prendre les Responsabilités et de cesser toute campagne n’ayant pas suivi le procésus de validation, ou émanent des d’organisations ou ONG’s car les conséquences sont importantes dans le futur et les populations doivent être strictement suivies par les Autorité Sanitaires du Pays.
Pour la rédaction
Anne-Hélène Goto